Si j'avais un épaule sur laquelle m'appuyer, j'y pleurerais.
Ils ont brisé mes rêves, violé mon orgueil. J’enterre seul, les cadavres décharnés de mes espoirs. Ils ne comprendront jamais et je me dois D’agrémenter ma cellule solitaire par mes propres pensées. Se tromper et faire semblant d’y croire Pour ces quelques...